Dans un communiqué de presse diffusé aujourd'hui à l'échelle du Canada, la Fédération nationale de police s'est déclarée totalement opposée à l'interdiction des armes à feu par les libéraux le 1er mai.
La Fédération nationale de police est l'unique agent négociateur accrédité de la GRC, représentant plus de 20 000 membres à l'échelle nationale. La Fédération nationale de police est la plus importante association de policiers au Canada et la deuxième en importance en Amérique du Nord.
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"La législation coûteuse et actuelle, comme le décret interdisant diverses armes à feu et le programme de "rachat" proposé par le gouvernement fédéral et visant les propriétaires légaux d'armes à feu, ne répond pas à ces thèmes actuels et émergents ni aux menaces urgentes pour la sécurité publique.
Il n'aborde pas non plus la question :
- activité criminelle,
- la prolifération des armes à feu illégales,
- la criminalité des gangs,
- le passage illégal d'armes à feu à la frontière ou
- l'utilisation criminelle des armes à feu.
En fait, elle détourne du personnel, des ressources et des fonds extrêmement importants pour faire face à la menace plus immédiate et croissante de l'utilisation criminelle des armes à feu illégales.
Pete Merrifield, vice-président de la Fédération nationale de la police, s'est adressé aux membres de la CCFR :
"En avril, je me suis occupé du mari veuf et des deux jeunes enfants d'un de mes membres qui a été assassiné avec 21 autres personnes innocentes par un criminel possédant des armes à feu illégales. Lorsque l'interdiction a été annoncée en mai, j'ai été la première personne à obtenir une rencontre avec le ministre de la Sécurité publique en juin pour discuter des préoccupations relatives à l'interdiction et des solutions de rechange axées sur les criminels et non sur les citoyens. En juillet et août, j'ai été filmé pour des documentaires et pour des segments télévisés du CCFR, afin d'éduquer le public sur la mauvaise orientation de l'interdiction et sa futilité par rapport à la sécurité publique. En août également, nous avons commandé la recherche pour un document de position politique sur la question. Cette semaine, je participe à des séances de lobbying virtuelles avec 10 membres clés du Parlement. En décembre ou janvier, je comparaîtrai devant le Comité parlementaire de la sécurité publique. Comme le gouvernement actuel n'a pas donné de préavis de son décret, je m'efforce, comme de nombreux citoyens, d'éduquer le public et les parlementaires et de faire annuler une interdiction inutile qui n'améliore en rien la sécurité publique. Je pense que l'ajout des voix de 20 000 policiers de première ligne pourrait aider la cause."
REGARDEZ PETE SUR L'INTERDICTION DES ARMES À FEU AU CANADA EXPOSÉE PAR LE CCFR :
Il est donc temps pour vous de nous aider. Voici ce que vous devez faire :
TROUVER VOTRE DÉPUTÉ ICI
Partagez avec eux le communiqué de presse du FNP et demandez-leur s'ils soutiennent les efforts des forces de l'ordre pour lutter contre la criminalité et la violence réelles.
Téléchargez le communiqué de presse ICI
Les preuves sont là, et elles sont claires et accablantes, cette interdiction des armes à feu de l'OCI ne répond pas à la criminalité et cible la mauvaise population.
Le CCFR est reconnaissant du soutien du FNP et, en retour, soutient le travail incroyable que les forces de l'ordre font pour assurer la sécurité de tous les Canadiens.
Si vous aimez ce que fait le CCFR pour défendre vos droits de posséder et d'utiliser des armes à feu au Canada, pensez à soutenir notre combat en faisant un don à l'adresse https://firearmrights.ca/en/donate.