Les Sharkzcoins canadiens refusent les clients liés aux armes à feu *Mise à jour

18 juillet 2017

Les Sharkzcoins canadiens refusent les clients liés aux armes à feu *Mise à jour

Au CCFR, nous sommes toujours à la recherche de nouveaux produits et services pour nos membres et nos agents de terrain, en recherchant les meilleures offres pour votre dollar et en utilisant la technologie pour rationaliser les processus. Récemment, l'un de nos agents de terrain s'est intéressé à un article toujours populaire parmi les amateurs d'armes à feu, la pièce de défi. Il pensait que ce serait un bon jeton pour l'équipe des agents de terrain et que cela favoriserait une sorte de fraternité entre ceux qui sont chargés d'éduquer les masses sur le terrain. Nous lui avons suggéré de faire des recherches, de faire dessiner quelques modèles et d'obtenir des devis de fournisseurs canadiens pour les présenter au conseil d'administration.

Une entreprise a carrément refusé de faire un devis pour cet article. Nous avons été un peu choqués, surpris et offensés par leur refus de faire affaire avec une organisation canadienne à but non lucratif enregistrée qui soutient les sports de tir, y compris les espoirs olympiques canadiens. Je pense que nos membres, qui sont des militaires et des agents de la force publique, trouveraient ce refus plutôt irrationnel.

Voici la réponse de Helen Edley, partenaire de gestion chez Edley Engineering, propriétaire de SharkzCoins;

De sharkzcoins

 

Il est intéressant de noter que Helen de sharkzcoins.com n'a manifestement pas encore examiné la mission de notre groupe. Comment une entreprise pourrait-elle être contre l'éducation des propriétaires d'armes à feu canadiens et comment exactement ce que fait le CCFR est-il en conflit avec une entreprise qui a une relation longue et respectée avec les agences d'application de la loi ? Il s'agit là d'un excellent exemple des préjugés et des suppositions du public concernant les propriétaires d'armes à feu canadiens. Les 2,2 millions de propriétaires d'armes à feu respectueux de la loi et titulaires d'un permis ne constituent en aucun cas un " opposé " aux forces de l'ordre.

Rien de tout cela n'est nouveau, en fait nous avons eu de multiples exemples de ce type de dissociation. Nous avons rencontré le même problème en essayant d'engager des services de soutien pour notre base de données CRM. Le bureau du CCPR a récemment reçu un appel d'un détaillant d'armes à feu qui rencontrait également ce genre de blocages en essayant de s'inscrire à des services bancaires. Les propriétaires de commerces traditionnels et les grandes entreprises considèrent les propriétaires d'armes à feu comme un "négatif" pour l'image de leur propre entreprise. Nous devons reconnaître ces entreprises pour ce qu'elles sont, c'est-à-dire anti-propriétaires d'armes à feu... pas " anti-armes ", car elles travaillent volontiers et avec empressement avec les forces de l'ordre, mais anti-propriétaires d'armes à feu.

La prochaine fois que vous chercherez à effectuer des transactions commerciales avec une entreprise, un détaillant, un fabricant ou un prestataire de services, prenez un moment pour savoir s'ils ont des préjugés automatiques et des suppositions négatives sur qui vous êtes.

Parlons avec nos portefeuilles.

 

MISE À JOUR : Après une journée agitée à traiter avec des propriétaires d'armes à feu offensés à travers le Canada, Chris Edley de Sharkzcoins a parlé avec le président du CCFR, Rod Giltaca, la nuit dernière. Il a publié cette mise à jour sur la page Facebook de son entreprise :

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