Dans une déclaration bizarre au journaliste du Hill Times Tim Naumetz, la porte-parole de Polysesouvient, Heidi Rathjen, admet ouvertement que l'objectif de son organisation est de mettre fin à toute possession d'armes de poing par des civils, et non de cibler l'utilisation criminelle.
Elle répondait à une déclaration du premier ministre à Montréal la semaine dernière. Lorsque le Premier ministre a déclaré qu'il voulait "limiter l'accès facile aux armes de poing et aux armes d'assaut pour les criminels", Trudeau a laissé entendre qu'une interdiction totale n'est probablement pas dans les cartes, pas avant les élections en tout cas. Cela ne fait pas l'affaire du lobbyiste anti-armes. Son objectif est de mettre un terme au tir sportif avec des armes de poing par les Canadiens.
"Dire que vous ne voulez pas que les criminels aient des armes de poing ou des armes d'assaut ne veut pas dire grand-chose. Le fait est que nous ne voulons pas que les Canadiens aient des armes de poing ou d'assaut" ~Heidi Rathjen
Je me demande ce que notre équipe olympique penserait de cela. La tireuse olympique Lynda Kiejko copréside le comité nommé par le gouvernement, le CCCA (Comité consultatif canadien sur les armes à feu), avec Nathalie Provost, une autre activiste anti-armes à feu polysésienne.
Le groupe, tristement célèbre pour avoir brandi des photos d'armes à feu qu'ils jugent "effrayantes" sur la base de leur apparence, fait constamment rouler les yeux, car leur manque total de connaissances en matière d'armes à feu suscite souvent des centaines de commentaires et de réponses à des articles et des messages sur les médias sociaux. Ils n'assument aucune responsabilité pour leurs actions irréfléchies, tant que cela les aide à atteindre leur objectif final, à savoir obtenir vos armes à feu.
Les armes d'assaut sont interdites au Canada depuis les années 1970.
Alors que des villes comme Toronto et Ottawa enregistrent un nombre record de crimes violents et de décès par balle, l'accent devrait être mis sur les criminels et le problème croissant des gangs - les Canadiens le savent.
L'accent mis sur les propriétaires d'armes à feu légales détourne l'attention et les ressources de ce travail, ce qui a pour conséquence d'augmenter le nombre de victimes et de familles dévastées, tout cela avec le soutien de Polysesouvient et de la Coalition pour le contrôle des armes. Ces deux organisations se présentent comme des groupes de survivants ou de victimes, sous couvert de vouloir mettre fin à la violence. Mais après les commentaires de Rathjen, il est douloureusement clair que leur seul objectif est de s'attaquer aux citoyens les plus contrôlés du Canada... les propriétaires légaux d'armes à feu.
Rathjen répondait à leur tentative ratée de faire la guerre aux chasseurs et aux tireurs sur cible avec un hashtag sur les médias sociaux, "TriggerChange". La campagne ratée des lobbyistes anti-armes est le résultat d'une contre-attaque des propriétaires d'armes à feu, malades de la diabolisation constante de notre sport, et menée par le CCFR. Lisez l'histoire ici
Rod Giltaca, PDG et directeur exécutif du CCFR a été cité dans l'article de Naumetz en disant que "les propriétaires d'armes en ont assez des attaques constantes. Ils veulent simplement se défendre et ils en ont assez de la diabolisation".
Il semble qu'il n'y ait pas de fin à la guerre que nous livrent ces démagogues. Ils sont déterminés à tuer notre sport et utiliseront un nombre incalculable de victimes pour faire passer leur message.
Imaginez les progrès qui pourraient être réalisés dans notre société si toutes les parties de ce débat émotionnel voulaient la même chose ?
La fin de la violence, la réduction ou l'élimination de la violence des gangs et de la criminalité.
Eh bien, ils ne le font pas. Polysesouvient est seulement concerné par vos armes.
Il est temps de #TriggerChange