Le CPC a connu de grands succès lors des dernières élections fédérales, obtenant 22 sièges et le plus grand nombre de votes à travers le pays, mais en raison de notre système électoral, ce n'était pas suffisant pour gagner. Le chef du CPC, Andrew Scheer, s'est battu contre des problèmes qui l'accablaient et a fini par démissionner de son poste deux semaines avant Noël.
Qu'est-ce que cela signifie pour le parti ? Une course à la direction, ce qui nous amène à la discussion essentielle que nous allons avoir. De nombreuses personnes dans les rangs du parti (et au-delà) ont laissé entendre ou déclaré ouvertement leur intention de se présenter à la direction du parti. De nombreux noms reconnaissables ont été lancés : Pierre Poilievre, Michelle Rempel, Rona Ambrose, Peter McKay, Erin O'Toole et même l'ancien premier ministre du Québec Jean Charest, pour n'en citer que quelques-uns.
Les propriétaires d'armes ont joué un rôle actif et important dans la dernière course à la direction du CPC et celle-ci ne sera pas différente. En fait, cette course peut faire ou défaire la possession d'armes à feu par les civils dans ce pays.
Voici pourquoi.
Jean Charest.
Passons en revue l'histoire de Charest avec la politique.
Jean Charest a été le 29e premier ministre du Québec, de 2003 à 2012 ; le vice-premier ministre du Canada du 25 juin 1993 au 4 novembre 1993 ; le chef du Parti progressiste-conservateur fédéral du Canada de 1993 à 1998 ; et le chef du Parti libéral du Québec de 1998 à 2012. Il est devenu premier ministre après avoir remporté les élections de 2003 ; après avoir perdu les élections de 2012, il a annoncé qu'il démissionnait de son poste de chef du Parti libéral du Québec et qu'il quittait la politique.
Maintenant, parlons de son amour pour le contrôle des armes.
En 2007, alors qu'il était question de mettre fin au registre des armes d'épaule, Charest s'est engagé à augmenter les restrictions sur les armes à feu au Québec si le gouvernement fédéral abolissait le registre. Il a tenu cette promesse et les Québécois sont maintenant soumis à la Loi 9 (Loi 9), qui crée un obstacle important pour les tireurs sportifs licenciés.
En 2011, Charest, furieux de la fin du gaspillage du RGL, a déclaré que le projet d'Ottawa de détruire les données du RGL était " inacceptable " et qu'il " utiliserait toutes les ressources disponibles pour s'assurer que cela ne se produise pas ". Charest a combattu et critiqué Harper tout au long du processus.
Charest a toujours soutenu les groupes de pression anti-armes PolySeSouvient et la Coalition pour le contrôle des armes à feu dans leurs efforts pour obtenir des mesures de contrôle des armes à feu plus strictes pour les citoyens les plus contrôlés du Canada.
Charest est un politicien québécois libéral d'extrême gauche qui déteste les armes à feu et les propriétaires d'armes à feu - les preuves sont devant vous. Faites une simple recherche sur Google : Jean Charest gun control, Jean Charest long gun registry, Jean Charest guns ... vos yeux ne vous trompent pas - il veut mettre fin à votre sport et à votre mode de vie.
Alors ... alors que nous entrons dans une course à la direction du seul parti fédéral qui soutient les propriétaires d'armes à feu légales, tout en ayant une plateforme " dure au crime " pour combattre la violence, il n'a jamais été aussi important pour les propriétaires d'armes à feu de comprendre qui est Jean Charest.
Il est le politicien québécois élitiste et gauchiste qui a la CCG dans une poche et PolySeSouvient dans l'autre - et il veut que vos armes disparaissent.
Il nous incombe de veiller à ce qu'il continue à profiter de sa retraite. Il n'y a pas de place pour Charest comme chef du Parti conservateur du Canada si vous êtes un propriétaire d'armes à feu.