Une étude publiée par la Société canadienne de pédiatrie (SCP) montre un large éventail de problèmes qui mettent en danger les jeunes Canadiens, qu'ils soient nouveaux ou nés au sol. Les propriétaires d'armes à feu légales sont frustrés alors que les manchettes à travers le pays laissent entendre qu'un " enfant par jour " est abattu en Ontario. Un bref examen de l'étude elle-même révèle que son champ d'application est peut-être trop large pour fournir une base réelle à l'implication de la manchette. Tout est inclus, des pistolets Nerf aux membres de gangs de jeunes abattus par la police, et plus encore.
De la part du Dr. Caillan Langmann ;
Vous pouvez lire l'étude du CPS ici
Les médias de tout le pays sont impatients de transmettre cette histoire aux masses, avec leur propre interprétation intentionnelle, basée sur l'émotion.
~CTV
Il convient de noter que les articles omettent clairement certaines données importantes de l'étude elle-même, à savoir si les armes à feu sont ou non détenues légalement et si la majorité des "victimes" sont des jeunes âgés de 15 à 24 ans vivant en zone urbaine. Cela peut laisser entendre que l'activité des gangs est prévalente dans les données. L'étude inclut également les blessures dues aux pistolets Nerf et au paintball, qui ne sont pas des armes à feu et ne correspondent pas à la description des "coups de feu" par les médias.
D'après leur propre étude, les tendances sont évidentes.
Du professeur Gary Mauser ; "Il y a eu 17 décès non intentionnels par arme à feu en 2012, tous âges confondus - l'année la plus récente pour laquelle des données sont disponibles auprès de Statistique Canada. Voici une analyse que j'ai faite des données de Statistique Canada il y a quelques années. En moyenne, un enfant de moins de 10 ans est tué accidentellement chaque année par balle. "
Gary Mauser est une autorité de premier plan en matière de questions et de législation sur les armes à feu au Canada.
Pour s'engager dans l'effort d'améliorer la sécurité des jeunes canadiens, nous devons avoir une discussion honnête et basée sur les faits sur ces questions. LeCCFR s'engage à défendre la cause par l'éducation et invite les médias, les personnalités politiques et le grand public à nouscontacter pour obtenir le soutien d'experts.