Le CCFR se rend à Ottawa pour discuter de l'interdiction des armes à feu et d'une enquête.

15 octobre 2018

Le CCFR se rend à Ottawa pour discuter de l'interdiction des armes à feu et d'une enquête.

~Ottawa, lundi 15 octobre 2018

Aujourd'hui est un grand jour pour les propriétaires d'armes à feu canadiens. Le PDG et directeur exécutif du CCFR, Rod Giltaca, arrive à Ottawa pour rejoindre la vice-présidente des relations publiques et lobbyiste interne enregistrée, Tracey Wilson, afin de répondre à l'intérêt du gouvernement Trudeau pour l'interdiction des armes de poing et les " consultations publiques " connexes. Le duo passera la semaine sur la colline du Parlement à défendre la possession légitime d'armes de poing par les propriétaires d'armes civiles à travers le pays, et s'attaquera à l'enquête de Bill Blair qui a été ouverte au public la semaine dernière.

Récapitulons : Dans une lettre de mandat émise par le premier ministre Trudeau en août, le ministre de la Sécurité frontalière et du Crime organisé, Bill Blair, a reçu l'instruction de mener à bien l'examen d'une interdiction complète des armes de poing et des " armes d'assaut " au Canada. La directive elle-même nous porte à croire que le gouvernement actuel est à court d'experts. Les armes d'assaut sont interdites au Canada depuis des décennies. Le récent sondage publié par la Sécurité publique contient des questions très suggestives et inclut une définition partielle des " armes d'assaut " du ministère américain de la Justice qui est tellement dépassée qu'elle a été supprimée par les Américains en 2004. Ce gouvernement est-il capable de définir la terminologie par lui-même ?

L'initiative de"consultation publique" comprend également des séances d'engagement en personne des parties prenantes qui auront lieu dans tout le pays, mais sur invitation seulement - donc pas du tout publiques. Quels sont les critères pour être considéré comme une partie prenante ? Il est certain que les plus de 2 millions de Canadiens qui subiraient les conséquences d'une " interdiction " de leurs armes à feu acquises légalement devraient avoir un intérêt dans cette affaire. Le CCFR est en conversation avec le gouvernement fédéral et fera pression pour une inclusion beaucoup plus large dans ce processus.

"Des processus comme celui-ci ont des répercussions réelles sur la vie de vrais Canadiens, dans ce cas-ci 2,2 millions de Canadiens. Nous sommes très préoccupés par le manque de légitimité et le manque de leadership dont fait preuve le gouvernement dans ce dossier", a déclaré Mme Wilson depuis son bureau d'Ottawa. "Le Canada applique des peines parmi les plus sévères du monde civilisé pour la possession non autorisée et l'utilisation abusive d'armes à feu. Notre problème n'est pas que nous n'avons pas assez de réglementation" a ajouté Giltaca.

Le CCFR est la seule organisation nationale de défense des droits des armes à feu qui dispose d'un lobbyiste enregistré à temps plein, spécialisé dans la réglementation des armes à feu. Wilson a participé au Sommet du ministre sur la violence armée et les gangs au printemps dernier à Ottawa, sur invitation du ministre, et s'est rendu à Toronto pour assister à la seule réunion publique sur ce sujet avec Bill Blair. Le CCFR mène la lutte contre C-71 et continue à fournir une représentation rationnelle et efficace pour les propriétaires d'armes à feu canadiens - nous sommes toujours présents.

Rod et Tracey ont un programme complet de réunions de lobbying avec des députés et des sénateurs cette semaine, des rendez-vous avec les médias, y compris une session en studio avec Brian Lilley de CFRA, et ils tiendront une conférence de presse parlementaire dans la salle Charles Lynch de l'édifice central mercredi matin à 10h00, où ils réagiront à l'attaque continue du gouvernement contre les propriétaires d'armes à feu, au manque de travail crédible sur la criminalité et lanceront un défi aux libéraux sur ces questions.

Vous pouvez compter sur le CCFR pour prendre position en faveur de votre capacité à posséder et à utiliser vos armes à feu au Canada, et nous continuerons à faire pression sur le gouvernement pour qu'il respecte sa promesse et son obligation de travailler sur la criminalité réelle.

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