La culture et l'industrie des armes à feu au Canada prospèrent malgré les libéraux

3 mars 2020

La culture et l'industrie des armes à feu au Canada prospèrent malgré les libéraux

Cela va être long. J'espère qu'il apportera un peu d'esprit critique à ceux qui élaborent les lois dans ce pays.

Lorsque les libéraux ont remporté la majorité en 2015, les propriétaires d'armes à feu de tout le pays étaient sur le bord de leur siège, espérant qu'ils ne seraient pas la cible d'un fardeau législatif plus malavisé, comme cela a été le cas au cours des 30 dernières années. Le mandat de 4 ans a vu l'adoption de C-71, un fouillis bureaucratique de règlements et de mesures visant à accabler davantage les tireurs sportifs et les chasseurs légitimes. Les propriétaires d'armes à feu l'ont combattu avec acharnement, et il a fallu 14 mois, du jamais vu, pour qu'il passe par les chambres de la Chambre et du Sénat, pour finalement être adopté sans amendement, contre la volonté du comité sénatorial chargé d'étudier le projet de loi.

 

Avec les élections de 2019 dans notre rétroviseur et les libéraux réduits à une minorité affaiblie, on pourrait penser qu'un soupir de soulagement se ferait entendre dans les camps de chasse et les parcours approuvés par le gouvernement d'un océan à l'autre - pas de chance. Même si les conservateurs ont remporté le vote populaire, cela n'a pas été suffisant pour détrôner les libéraux qui dominaient l'Est. Et c'est ainsi qu'ont commencé les menaces d'interdiction des armes à feu pour les propriétaires légaux, de confiscation forcée, de milliards de dollars en programmes de rachat et de plus d'un quart de million de fusils légaux retirés aux propriétaires d'armes à feu qui n'avaient rien fait pour justifier une telle attaque.

 

Pourtant, nous voici au printemps de l'année et rien n'a été fait. Littéralement rien. Les mesures contenues dans le projet de loi C-71 de l'an dernier n'ont même pas été mises en œuvre, et aucun décret n'a été déposé pour établir le cadre nécessaire à cette lourde mesure législative. Le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, continue d'apaiser les lobbies anti-armes en promettant des interdictions radicales des armes à feu et en envisageant d'enfoncer les portes des Canadiens respectueux de la loi. PolySeSouvient, la Coalition pour le contrôle des armes et les Médecins pour la protection des armes (tous des groupes de pression anti-armes interconnectés avec des programmes radicaux) continuent de tourmenter et de troller les propriétaires d'armes à feu légales sur les médias sociaux tout en acceptant d'énormes afflux d'argent de la part de financeurs américains.

MAIS ... en dépit de tout cela, notre culture, notre sport et notre industrie continuent de croître, et littéralement d'exploser.

  • Les numéros PAL et RPAL sont en hausse
  • de nouveaux fusils de sport tactiques et semi-auto sont mis sur le marché avec la bénédiction du laboratoire d'armes à feu de la GRC.
  • Les détaillants investissent dans de nouveaux sites et construisent des champs de tir(Select Shooting Supplies, Bulls Eye London, SFRC, FOC, Triggers & Bows, That Hunting Store, etc.
  • Le plus grand "salon des armes" du Canada, TACCOM, promet de doubler sa taille cette année
  •  les listes d'attente s'allongent dans les clubs et les champs de tir à travers le pays alors que de plus en plus de personnes se lancent dans ce sport.
  • les importations légales continuent de traverser la frontière
  •  Les journées d'entraînement pour dames se vendent en quelques minutes - le parrainage de la CCFR a doublé par rapport à l'année dernière.
  •  Leprojet Mapleseed (parrainé par le CCFR) est désormais un programme national, dont le nombre d'événements a doublé cette année et le nombre d'instructeurs a triplé.
  •  La Fédération universitaire de tir du Canada (FUSC) compte désormais 18 établissements postsecondaires parmi ses clubs de tir.
  •  Lors du salon de l'industrie des armes à feu CSAAA, les détaillants ont passé des commandes en masse auprès des distributeurs, et le message de la directrice générale Alison de Groot à l'industrie était "business as usual".
  •  stakeholder groups begin partnering to defend gun owners

 

Dans le même temps, nous constatons une opposition de plus en plus forte aux mesures inutiles et inefficaces proposées à l'origine par les libéraux fédéraux, de la part des forces de l'ordre, des responsables gouvernementaux à tous les niveaux, des médias et des Canadiens ordinaires.

La conversation sur les armes à feu au Canada est en train de changer ... Les Canadiens exigent un travail crédible sur le crime, une utilisation responsable de l'argent des contribuables et moins de division.

C'est pourquoi nous allons lancer dans deux semaines la plus grande campagne de relations publiques et d'éducation de l'histoire des armes à feu au Canada.

Unis, nous sommes plus forts.

Je terminerai par une dernière réflexion. La communauté canadienne des armes à feu est un groupe passionné, motivé et résilient. Nous avons à cœur de rendre nos communautés plus sûres et nous attachons de l'importance à nos libertés et à nos droits. Ces déclarations sont non partisanes.

Aux libéraux au pouvoir, les Canadiens comptent sur vous pour faire ce qu'il faut. Pour utiliser judicieusement l'argent sacré de nos impôts en période d'adversité, pour mettre en œuvre et financer des mesures qui auront un impact positif sur la sécurité publique, et pour produire des politiques justes et efficaces.

Nous continuerons, avec votre aide, à exiger mieux de nos législateurs, à retenir les eaux de marée et à veiller à la préservation de notre sport. En attendant, emmenez quelqu'un faire du tir, achetez cette nouvelle arme, obtenez une nouvelle adhésion au stand de tir et n'oubliez pas de contacter votre député.

Pour l'instant, les affaires continuent comme d'habitude...

 

Défendez vos droits

Faites une différence en nous soutenant dans notre lutte pour nos droits de propriété.
flèche vers le bas